Jean-Marie D. (Allier)
Effectivement, ce risque existe au rachis et cela pour deux raisons : d’une part, l’os des patients souffrant de SPA est probablement plus fragile que celui de la population générale ; d’autre part, en cas d’ossification rachidienne, le dos est moins souple et donc plus fragile. On peut prendre comme comparaison le roseau qui plie mais ne se rompt pas, alors qu’un bout de bois raide peut casser en cas de pression trop importante.