
Le retard au diagnostic
La maladie se déclare chez les jeunes adultes, mais elle est souvent diagnostiquée avec cinq ans de retard en moyenne. Et à ne pas traiter sa pathologie, le risque encouru par le patient est de souffrir inutilement pendant des années. Plus grave encore, il
risque aussi de perdre la mobilité de sa colonne vertébrale. Or, il existe désormais des prises en charge efficaces grâce à de nouveaux médicaments appelés biothérapies. Couplées à une activité physique, fondamentale dans la spondylarthrite ankylosante, ces dernières vont véritablement soulager le patient. Le rhumatologue est le bon spécialiste à consulter.
Découvrez en vidéo les explications du Dr Laurent Grange, rhumatologue au CHU de Grenoble et Président de l’AFLAR : |
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https://www.youtube.com/watch?v=lQ6-BrZgTpc&feature=youtu.be |