D’après le Droit du Travail, l’entreprise doit prendre en compte l’état de santé des travailleurs, et l’exercice professionnel ne doit pas porter atteinte à leur santé. En réalité, la question de la santé au travail est abordée par le biais des risques et des maladies professionnelles, avec un focus sur les TMS, les cancers professionnels, les risques psychosociaux.
D’après le Droit du Travail, l’entreprise doit prendre en compte l’état de santé des travailleurs, et l’exercice professionnel ne doit pas porter atteinte à leur santé. En réalité, la question de la santé au travail est abordée par le biais des risques et des maladies professionnelles, avec un focus sur les TMS, les cancers professionnels, les risques psychosociaux.
Les maladies chroniques évolutives que sont les maladies rhumatismales sont encore peu connues du monde de l’entreprise.
L’employeur est tenu de prendre en compte une demande d’aménagement de la situation de travail faite par le médecin du travail pour le compte d’un salarié dont l’état de santé ne permet pas de continuer ses missions dans les mêmes conditions.
Les progrès thérapeutiques permettent aujourd’hui aux malades de continuer à travailler.
Quelle est la responsabilité des entreprises et de la société ?Si ces progrès permettent d’augmenter les chances de continuer à travailler la question qui reste posée est celle de la relation au travail et du rôle que le travail joue dans la vie de la personne. |
Mais l’innovation thérapeutique ne suffit pas. Elle doit s’accompagner d’une évolution des mentalités, des politiques et des pratiques en entreprise.Ainsi, la prise en compte par les entreprises des maladies chroniques et les aménagements de situation de travail que cela peut générer participe également à l’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des collaborateurs. La loi Handicap du 11 février 2005 a renforcé l’obligation d’emploi des personnes handicapées. |
Présentéisme/absentéisme* :
Le coût indirect des maladies rhumatismales au travail résulte de la perte de productivité qui est évaluée selon deux critères : l’absentéisme (temps de travail manqué) et le présentéisme (réduction de la performance sur le lieu de travail). Ainsi, par exemple, environ deux tiers des polyarthrites rhumatoïdes entrainent une perte de productivité*
Un phénomène qui se traduit par 34 jours manqués par an et par patient.
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